Cours d’économie monétaire et financière

Cours d’économie monétaire et financière

Cours d’économie monétaire et financière et vous pouvez le télécharger au format pdf, L’économie est une science sociale qui étudie les comportements humains devant des moyens rares sollicités par des fins multiples. Une science qui étudie les moyens d'acquérir les richesses nécessaires à la satisfaction des besoins humains, en situation de rareté des ressources disponibles.

 

L'économie est confrontée à un problème commun aux sciences sociales, mais inexistant pour les sciences dures, à savoir extraire le fait économique du fait social. Il est très facile d'observer les faits sociaux dans la vie de tous les jours.

 

Acheter une baguette de pain, prendre un taxi, faire un virement bancaire, s'abonner à l'Internet, déposer un brevet, contracter un crédit immobilier, etc. 

 

Cependant, ces faits sociaux ont la particularité de ne pas être seulement économiques ; ils sont aussi sociologiques, historiques, géographiques, culturels, ethnologiques, anthropologiques, juridiques, psychologiques, etc..


 Marché financier

 Le refinancement auprès de la banque centrale (pensions), les banques commerciales peuvent également se financer auprès de la BC grâces aux procédures officielles des pensions. Le marché hypothécaire : il a pour objectif de permettre aux établissements de crédit, en particulier ceux qui distribuent des crédits à long terme, de trouver de nouvelles ressources financières. Le fonctionnement de ce marché est basé sur la technique de la « titrisation »

 

C’est un marché de fonds prêtables à long terme. Il permet de mobiliser l’épargne nationale sous forme de valeurs mobilières. Il est composé d’un marché primaire (émission des nouvelles valeurs) et d’un autre secondaire (négociation par l’offre et la demande).

 

Les théoriciens de la monnaie exogène, pour lesquels la monnaie a son origine à l’extérieur de la sphère économique. La monnaie est exogène quand son injection dans l’économie dépend de la banque centrale et/ou du pouvoir politique.

 

Lorsqu’une hausse inflationniste des prix s’accompagne de hausses de revenus concomitantes, le processus risque souvent de prendre une tournure cumulative, qui s’auto-entretient : les demandes sur les marchés, qui logiquement devraient être freinées par les hausses de prix, ne le sont pas puisque la hausse des revenus prend le relais de leur soutien ; comme ce relais est lui aussi susceptible d’entraîner de nouvelles hausses de prix, celles-ci entraîneront à leur tour des hausses de revenus, et ainsi de suite. On a appelé « spirale inflationniste des prix et des revenus » un tel phénomène. 


Les théoriciens de la monnaie endogène, pour lesquels la monnaie prend sa source au cœur même de l’activité économique. Ce sont les décisions des agents non bancaires qui, en sollicitant des crédits auprès des banques, sont à l’origine de l’introduction de la monnaie dans le circuit économique.

 

Les caractéristiques de la nouvelle courbe IS sont presque les mêmes, sauf que sa pente devient plus forte que l’ancienne (en économie fermée) suite à l’addition de la propension marginale à importer, concernant les déplacements, de nouvelles causes s’y ajoutent notamment le changement de la valeur des exportations, de la propension marginale à importer ainsi que le taux de change. 

 

L'inflation: explications théoriques

L’inflation selon les monétaristes trouve donc son origine dans la variable de la monnaie et sa mauvaise gestion. L’afflux des métaux précieux au ΧVIème siècle, le recours massif à la planche à billets, la distribution excessive de crédits et l’expansion de la masse monétaire par rapport à l’offre réelle, aura comme conséquence, un déséquilibre macroéconomique en termes de l’augmentation des prix des biens et services. 

 

Le fondateur de la théorie monétaire Milton Friedman trouve que l’origine de l’inflation réside dans l’accroissement rapide de la quantité de monnaie en circulation par rapport au volume de la production .


Contrairement au déflateur du PIB qui donne le prix moyen des biens finals produits dans l’économie, l’IPC s’intéresse aux prix des biens achetés par les consommateurs, or certains biens inclus dans le PIB ne sont pas forcément vendus aux consommateurs mais aux entreprises ou au gouvernement et, aussi, certains biens achetés par les consommateurs ne sont pas produits sur place mais plutôt importés de l’extérieur, les deux prix ne sont donc pas nécessairement les mêmes.

 

L’indice a pour objet de comparer les valeurs des dépenses de consommation des ménages consacrées aux biens et services au cours de deux périodes. Le fait de savoir que les dépenses ont augmenté de 5 % n’a pas une grande valeur informative si l’on ignore quelle part de cette évolution peut être attribuée aux variations des prix des biens et services, et quelle part correspond aux variations des quantités achetées. 

 

L’objectif d’un indice est de décomposer l’évolution d’une valeur d’un agrégat entre une évolution de prix et une évolution de volume. Les IPC visent à mesurer la composante «prix» de la variation des dépenses de consommation des ménages. Une des façons de le faire consiste à mesurer, à quantités constantes, l’évolution de la valeur d’un agrégat .


 On appelle taux d’inflation d’une économie pendant une certaine période, le pourcentage d’accroissement de l’indice des prix au cours de cette période. L’étude de l’inflation dans un pays doit dès lors commencer par l’observation de l’évolution d’un indice représentatif de ses prix. La mesure de l’inflation Un indice des prix est une mesure des variations proportionnelles, ou en pourcentage, d’un assortiment de prix au cours du temps. 

 

L’indice des prix à la consommation (IPC) mesure les variations des prix des biens et services que les ménages consomment. Ces variations modifient le pouvoir d’achat en volume du revenu des consommateurs et leur bien-être. Étant donné que les prix des différents biens et services n’évoluent pas tous au même rythme, un indice des prix ne peut que refléter la moyenne de leurs variations. 

 

On lui assigne la valeur pour une période de référence donnée, et les valeurs de l’indice pour d’autres périodes visent à indiquer l’évolution proportionnelle (ou en pourcentage) moyenne des prix, par rapport à cette période de référence. Les indices des prix peuvent aussi être utilisés pour mesurer les différences de niveau des prix entre des villes, des régions ou des pays à un moment donné.

 

 

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